Victime de son succès, le bio a des états d’âme

Auteur: admin

Une dépêche AFP dans le cadre du salon agricole allemand Grüne Woche (« Semaine verte »), qui se tient actuellement à Berlin du 18 au 27 janvier 2008, titre ainsi son article. « En Europe, la production ne suit pas. Fruits, légumes ou encore miel doivent donc être importés, par exemple de Turquie ou d’Amérique Latine. Et cela pose un problème de crédibilité; Car si l’étiquette bio renvoie au sens strict à un mode de production qui n’a pas recours aux engrais et pesticides et qui respecte certaines normes d’alimentation des animaux, elle est aussi pour beaucoup une profession de foi en un mode de vie sain et respectueux de l’environnement ».

Chez Abonéobio, nous avons choisi des producteurs à proximité pour éviter les trajets inutiles.
Et pour les matières premières qui ne sont pas disponibles en France, nous sélectionnons des producteurs engagés et éthique pour le respect des populations locales et de leur richesses.
Combien de grandes entreprises viennent piller les seules sources de rentabilité pour ces habitants déjà déshérités.
Brûler les arbres pour l’huile de palme, modifier les cultures et rendre la terre infertile, détruire la biodiversité et déposer des brevets pour des recettes ancestrales, …Des exemples à la pelle !

Derrière un emballage une étique

Chez Abonéobio nous pensons qu’un produit, ce n’est pas juste un emballage, un conditionnement, …c’est aussi l’âme de celui qui a cultivé, récolté les matières premières, celui a assuré la composition, celui qui va le mettre sur le marché, celui qui va le remettre au client, …

Un produit est au cœur d’une chaine humaine et les valeurs des hommes peuvent faire la valeur du produit !

Une réponse à “Victime de son succès, le bio a des états d’âme”

  1. Je trouve étrange ce débat autour de l’importation de produits bio. Je ne vois personnellement pas où est le problème. Si notre agriculture est incapable de suivre la demande tant pis pour nous.
    nPlus en lisant:
    nhttp://macantinebio.wordpress.com/2